Revue de presse

10 Novembre 2020

La danse contemporaine entre chorégraphies et arts martiaux

Journal : La Montagne

Dai Jian, danseur d’origine chinoise et chorégraphe de la compagnie MaiOui Danse Arts basée à Lyon a largement contribué à l’ouverture des esprits en présentant, vendredi soir, sur la scène cussetoise deux de ces dernières pièces chorégraphiques MoveMen et Wip for One.
Deux Œuvres qui mettent en lumière deux facettes de sa riche culture artistique. La rigueur de l’académisme des arts martiaux appris dans son pays d’origine. La République de Chine, suivie de onze années d’études chorégraphiques aux États -Unis, l’ont imprégné des philosophies orientales et occidentales.
Les deux facettes de ses créations présentées au public sont opposées et complémentaires comme le sont les forces présentes en ce monde symbolisées dans le Yin Yang de la philosophie orientale.
Dans MoveMen, pièce pour trois danseurs, la facette Yang apparaît souvent dominante faisant apparaître force musculaire et énergie virile sans toutefois occulter sensibilité et fragilité

15 Avril 2019

REVUE C’EST COMME CA QU’ON DANSE: Parcours D’artiste : Dai Jian, La Danse Comme Méditation Organique

Critique et analyse de la pièce WIP crée en 2018:

« WIP pour Work In Progress prend tout son sens, pièce ouverte au sens cagien du terme puisque si le cadre est précis, le processus de création accepte les détours, les sorties de cadre pour y revenir, les possibles improvisations et surtout l’observation de soi et des autres. Dai Jian travaille à partir d’un matériau très simple celui des gestes quotidiens, il demande à ses interprètes d’entrer dans une forme de méditation consciente de l’instant présent, le mouvement devient une expression organique sans travail apparent, une organicité propre à chaque corps qui exprime ainsi sa singularité à travers la banalité des gestes donnant à voir un commun universel. »

29 Juin 2015

Review NY Times: ‘SILENT dialogue,’ From Dai Jian, Dances From Room to Room at the Met

« However tenuous the advertised connections, Dai Jian, a Chinese-born artist and former Trisha Brown dancer, seized the opportunity to have some brainy, beautiful fun. If intended to lure people to the museum on a Friday night, “SILENT dialogue” appeared to be working; the crowd, small and confused at first, grew larger and more adventurous. » SIOBHAN BURKE

16 Février 2014

Review NY Times: Disparate Backgrounds but a Common Thread

« Moving across the space, Ms. Demyanenko and Dai Jian carved pristine shapes out of recognizable gestures and mumbled in their native languages. It was one of those nights in which the dancing, clearly in the vein of Ms. Brown, was luxurious, but the piece itself grew ponderous and, at times, tritely cute. At one point, Ms. Demyanenko and Dai Jian, side by side on the floor, held out a foot as if marking the space with their footprints. » By GIA KOURLAS